Transfert en cours..., vous êtes sur le "nouveau" serveur data.abuledu.org dont l'hébergement est financé par l'association abuledu-fr.org grâce à vos dons et adhésions !
Vous pouvez continuer à soutenir l'association des utilisateurs d'AbulÉdu (abuledu-fr.org) ou l'association ABUL.
Suivez la progression de nos travaux et participez à la communauté via la liste de diffusion.
Photographie, Afrique, Autruche, Tanzanie, Biologie animale, Ornithologie, Serengeti (Tanzanie), Plaine du, Animaux -- Comportement, Struthio camelus, Comportement parental chez les animaux
Autruche femelle (Struthio camelus massaicus) au nid couvant ses oeufs. Toutes les femelles du harem déposent leurs œufs dans le même nid, qui n'est en général qu'un simple trou dans le sol. Il n'est pas rare de compter jusqu'à trente œufs dans le même nid, voire soixante, qui avaient été déposés par cinq femelles, dans le cas d'une autruche masaï. L'incubation est assurée presque entièrement par le mâle, parfois relayé par la favorite. En cas de danger, le mâle défend courageusement les œufs ou les poussins, parfois aidé de la favorite voire de toutes les femelles. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autruche_d%27Afrique
Photographie, Animaux, Poisson, Poissons d'eau douce, Poissons, Brochet commun, Brochets, Grand brochet
Le brochet ou grand brochet (Esox lucius) est une espèce de poissons qui habite les fleuves et rivières, les lacs et les étangs d'Europe, d'Amérique du Nord, d'Asie et du Maroc (moyen Atlas, introduit). Le brochet est présent sur toute la bande du globe entre le tropique du capricorne et le cercle polaire. Le brochet est fusiforme et couvert de fines écailles, avec des différences selon son milieu de vie. Les flancs et le dos sont généralement verdâtres ou jaunâtres. Sa taille varie de 30 à 110 cm et son poids entre 2 et 10 kg, cependant des individus de plus de 130 cm et de plus de 30 kg existent mais sont assez rares (ce sont généralement des femelles).
Photographie, Biologie marine, Récifs, Mer Rouge, Récifs coralliens, Écologie des récifs coralliens, Animaux des récifs coralliens, Biologie des récifs coralliens, Récifs coralliens -- Écologie, Récifs coralliens -- Faune, six-minutes-pour-la-mer-rouge, Récifs coralliens -- Biologie, Corail chou-fleur, Pocillopora, Pocillopora damicornis
Ce corail forme des colonies assez petites, rarement plus de 30 cm, qui comme souvent dans ce genre sont reconnaissables à leurs bras courts et élargis en spatules (pas très régulières chez cette espèce) et comme couvertes de verrues de taille constante (environ 3 mm), qui sont en fait les corallites, formant de courtes branches. Les branches principales de cette espèce sont courtes, très irrégulières, et parfois grossièrement polygonales ; elles sont plus robustes dans les eaux agitées. La couleur est généralement rose, mais peut aller du marron clair au verdâtre, ou être presque blanche. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pocillopora_damicornis
Photographie, Biologie marine, Récifs, Mer Rouge, Récifs coralliens, Écologie des récifs coralliens, Animaux des récifs coralliens, Biologie des récifs coralliens, Récifs coralliens -- Écologie, Récifs coralliens -- Faune, six-minutes-pour-la-mer-rouge, Récifs coralliens -- Biologie, Corail chou-fleur, Pocillopora, Pocillopora damicornis
Ce corail forme des colonies assez petites, rarement plus de 30 cm, qui comme souvent dans ce genre sont reconnaissables à leurs bras courts et élargis en spatules (pas très régulières chez cette espèce) et comme couvertes de verrues de taille constante (environ 3 mm), qui sont en fait les corallites, formant de courtes branches. Les branches principales de cette espèce sont courtes, très irrégulières, et parfois grossièrement polygonales ; elles sont plus robustes dans les eaux agitées. La couleur est généralement rose, mais peut aller du marron clair au verdâtre, ou être presque blanche. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pocillopora_damicornis
Papillons, Dessins et plans, Morosphinx, Cartes du monde, Insectes, Migrations animales, Répartition géographique des animaux, Biologie animale, Macroglossum stellatarum
Carte de répartition du morosphinx (Macroglossum stellatarum) : en bleu, distribution estivale ; en vert, distribution en toute saison ; en jaune, distribution hivernale. Le Moro sphinx (Macroglossum stellatarum) est un migrateur qui peut se rencontrer presque partout dans l'hémisphère nord en été, mais il réside uniquement dans les climats tempérés les plus chauds (Espagne, Portugal, Italie, Turquie, Afrique du Nord, Asie Mineure et jusqu'au sud du Japon) car il survit rarement à l'hiver aux latitudes plus au nord (comme au nord des Alpes en Europe, ou au nord du Caucase en Russie ou en Sibérie). Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Migration_des_papillons.
Élevage d'oies dans une ferme polonaise. Actuellement, les objectifs intentionnels de la domestication (dans le cas de nouvelles espèces) ou de l'amélioration des races domestiques concernent essentiellement la production (rarement le travail produit par les animaux). Ce sont l'adaptation aux conditions d'élevage, la prolificité, la vitesse de croissance, et souvent la qualité de la chair ou celle d'autres produits comme le lait ou la laine.
Photographie, Animaux, Poissons de mer, Poissons plats, Poissons, Poissons des fonds marins, Poissons rares, Animaux menacés, Pleuronectiformes
Le flétan est un poisson plat de la famille des Pleuronectidae. Comme tous les poissons de cette famille, ses yeux sont tous deux situés du côté droit de sa tête (poissons dextres), le côté gauche aveugle et non pigmenté faisant face au sol. Son corps est allongé, sa ligne latérale fortement arquée dans la région pectorale, sa bouche large, ses dents incurvées et sa queue concave. La couleur de son flanc droit (flanc supérieur) varie de gris verdâtre à brun foncé alors que son flanc gauche va du blanc au gris pâle. Ce poisson dont la taille et le poids varient énormément d’un spécimen à un autre (généralement autour de 1 mètre de longueur et entre 3 et 50 kilogrammes), est le plus grand poisson plat du monde, son poids allant jusqu’à 300 kilogrammes et sa taille pouvant dépasser 2,5m.
Ce jeune Pétrel noir de Bourbon (Pseudobulweria aterrima) trouvé échoué au pied de lampadaires a été relâché en bordure de mer. C'est l'une des quatre espèces de Procellariidae nicheuses de l'île de La Réunion et la plus rare. Elle figure depuis 1994 sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) comme espèce en danger critique d'extinction. Comme la plupart des pétrels et puffins, le Pétrel de Bourbon est un oiseau qui, sur les sites de nidification et pour aller et venir jusqu'à la mer, est effectivement actif uniquement la nuit. Il fait ainsi partie des espèces qui peuvent être leurrées par les éclairages artificiels nocturnes, prenant ceux-ci, selon les hypothèses, pour des proies (des bancs de calmars bioluminescents) ou simplement pour les reflets du ciel à la surface de l'océan. Il s'échoue alors à terre et est ensuite incapable de reprendre son envol.
Photographie, Australie, Animaux carnivores, Animaux sauvages, Alcédinidés, Carnivores (comportement alimentaire), Kookaburra, Oiseaux carnivores
Le Martin-chasseur géant ou kookaburra (Dacelo novaeguineae), oiseau célèbre en Australie pour son cri. Oiseau mythique dans la culture aborigène, son chant ressemble à un rire rauque. Son nom australien (de la langue morte wiradjuri) est d'ailleurs "Laughing Kookaburra" (littéralement « Kookaburra rieur »). Il habite dans toutes les zones boisées où il peut trouver à proximité des zones dégagées pour pouvoir chasser. Il ne craint pas la proximité de l'homme. Comme tous les martins-chasseurs, il se nourrit en attendant patiemment installé sur une branche qu'une proie passe à proximité pour se précipiter dessus : carnivore, il mange ainsi souris et autres petits mammifères analogues, gros insectes, lézards, petits oiseaux et oisillons, et, surtout serpents. Il s'attaque de préférence à des proies plus petites que lui mais il n'est pas rare qu'il s'attaque par surprise à des animaux nettement plus gros que lui, en particulier des serpents venimeux. Les proies les plus petites sont avalées vivantes, les proies plus grosses sont d'abord tuées en les frappant vivement sur le sol.
Dessins et plans, Grenouilles, Amphibiens, batraciens, Cartes géographiques, Animaux -- Distribution géographique
Carte de répartition et d'abondance de la grenouille rieuse (Pelophylax ridibundus) d'après Duguet et al "Les Amphibiens", Parthénope, 2003 : en vert, commun ; en orange, rare ; en violet, très rare ; en bleu, absent. Cette espèce se rencontre principalement en plaine et en moyenne montagne jusqu'à 800 m d'altitude. Elle apprécie les grandes rivières aux rives bien ensoleillées ainsi que les plans d'eau de superficie importante et d'au moins 50 cm de profondeur, comme les étangs et tourbières, dans leurs parties très ensoleillées. C'est souvent le seul amphibien présent dans les plans d'eau riches en poissons. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grenouille_rieuse Cet animal a un mode de vie très aquatique, contrairement à la Grenouille rousse qui ne s'éloigne que peu de l'eau.
Jeune visiteur de la ferme pédagogique de "Old McDonalds" (Fryeburg fair) nourrissant un mouton. Une ferme pédagogique est un des rares lieux où les jeunes urbains peuvent ré-entrer en contact direct avec les animaux domestiqués.
L'ornithorynque est un mammifère semi-aquatique avec une queue de castor qui lui sert à la fois de gouvernail dans l'eau et de réserve de graisse, des pattes de loutre et un bec de canard. C'est l'un des rares mammifères venimeux : le mâle porte sur les pattes postérieures un aiguillon qui peut libérer du venin capable d'infliger de vives douleurs à un être humain. Il a été utilisé comme mascotte pour de nombreux évènements nationaux et il figure au verso de la pièce de 20 cents australiens.
Gravure, Latin (langue), Savants allemands, Art nouveau (décoration), Nature (esthétique), Naturalistes, Ernst Haeckel (1834-1919), Art et nature, Faune marine, Ascidies
Planche d'ascidies, Ernst Haeckel (1834-1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 85 : Cynthia melocactus, Molgula tubulosa, Fragarium elegans, Polyclinum constellatum, Polyclinum constellatum, Synoecum turgens, Botryllus polycyclus, Botryllus rubigo, Botryllus Marionis, Botryllus helleborus, Polycyclus cyaneus, Botrylloides purpureus. Fait rare dans le règne animal, ces animaux sont partiellement constitués de tunicine, une molécule proche de la cellulose, qui est caractéristique des végétaux. À l’état adulte, les ascidies ressemblent à des sacs à deux ouvertures : Le siphon buccal où le courant d’eau entre, entraîné par des battements de cils ; Le siphon cloacal ou expirateur où l’eau est rejetée. Le système nerveux de l’adulte se limite à un ganglion cérébral. Un cœur en forme de tube est l’organe propulseur de l’appareil circulatoire. Il envoie le sang dans des sinus creusés dans le tissu conjonctif. Le flux change de sens toutes les deux à trois minutes. Les ascidies sont hermaphrodites. Testicules et ovaires libèrent leurs gamètes dans la chambre péripharyngienne où a lieu l’incubation. La larve ressemble extérieurement à un minuscule têtard de grenouille. Elle nage peu de temps, se fixe à un support et subit une profonde métamorphose. La reproduction asexuée et la régénération ont un rôle important, surtout chez les formes coloniales. Les particules alimentaires (micro-organismes planctoniques) se trouvant dans l’eau sont filtrées par un mucus secrété par la face ventrale interne de la cavité pharyngienne, puis acheminées par des cils dans l’estomac puis l’intestin. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ascidiacea
Dessins et plans, Populations, Répartition, Animaux -- Dispersion, Biologie des populations, Dispersion, Dispersion (botanique), Géographie de la population, Microorganismes -- Dispersion
Les trois grands types de dispersion de la population. De haut en bas : la dispersion égale, la dispersion inégale et la dispersion insulaire. La distribution spatiale, en écologie, désigne l’arrangement spatial des organismes vivant dans leur milieu naturel. Elle peut aussi se définir comme la fluctuation spatiale de l’abondance des organismes dans leur aire de répartition1. Trois formes de dispersion sont généralement reconnues : égale, inégale et insulaire. La dispersion égale est celle où les organismes sont uniformément répartis dans l’espace. Les dispersions inégale et insulaire représentent les cas où les organismes ne sont pas uniformément répartis dans l’espace. La dispersion inégale donne une apparence d’arbitraire. Toutefois, les organismes sont très rarement dispersés arbitrairement dans un espace. Leur localisation est presque toujours étroitement influencée par divers facteurs biologiques et environnementaux. Dans la dispersion insulaire, les organismes forment des regroupements ou des îlots dans l’espace.